Du polar plein les poches
Saviez-vous qu’un livre de poche vendu sur 4 est un polar? Pas surprenant alors que depuis 2 ans, le salon Lire en poche se penche sur le polar.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore, Lire en poche, c’est le salon du livre de poche organisé chaque année depuis neuf ans par la ville de Gradignan. Chaque année le programme est fourni, pour ne pas dire foisonnant : rencontres, lectures, ateliers, dédicaces, spectacles, le tout autour d’une grande thématique, cette année « Les variations du temps ». Si cette année, rendez-vous est donné les 4, 5 et 6 octobre 2013, il faut savoir que Lire en poche c’est aussi toute l’année, avec l’excellent site Lire en poche Le mag.
Si les auteurs sont à l’honneur, les lecteurs ne sont pas en reste. Et depuis deux ans, le salon leur donne la parole, en organisant un vote afin de sélectionner dans un choix de cinq ouvrages celui qui recevra le « Prix du polar 2013 ». Amateurs d’histoires noires, pensez à glisser quelques poches dans le sac de plage ou de randonnée, pour venir à la rentrée donner votre avis !
Pour voter, c’est là, et c’est jusqu’au 7 septembre.
Il n'est possible de voter qu'une seule fois, et pour un seul titre de la sélection.
Le nom du lauréat sera annoncé dès la première journée du salon, le vendredi 4 octobre. Le prix sera bien sûr mis en avant au salon, avec une table dédiée.
Les présentations des livres en lice, par le journal Sud Ouest :
« Le Sang des bistanclaques » d’Odile Bouhier
« Poussière tu seras » de Sam Millar
« Chaleur blanche » de M.J. McGrath
« La Tristesse du samouraï » de Victor del Arbor
« Le Briseur d’âmes » de Sebastian Fitzek
Dans un Paris survolté en proie à une crise sociale sans précédent, la violence éclate à chaque carrefour : partout, des voitures brûlent, des bandes de casseurs se livrent au pillage et au vandalisme. Les flics, débordés, s'engagent avec l'énergie du désespoir dans une croisade sans merci. Un thriller crépusculaire et fulgurant, premier roman d’un jeune auteur français dont on n'a pas fini de parler.
Aurélien Molas recevant son prix.