Café des Mots Spécial "Lire en Poche"

Gratuit
Réservé aux adhérents
Tout public
Après la 10ème édition du Salon "Lire en Poche", les bibliothécaires vous proposent un Café des Mots Littérature qui met à l'honneur, sept des auteurs français et étrangers présents sur le salon. Venez partager vos impressions de lecture et racontez-nous pourquoi vous avez aimé, ou pas, les ouvrages au programme de ce soir.

 

Owen Matthews
 Né à Londres, d'une mère russe et d'un père anglais, Owen Matthews a étudié l'histoire à l'université d'Oxford, avant d'entamer sa carrière de journaliste à Sarajevo en 1994.  Il a couvert la seconde guerre tchétchène, les conflits au Moyen-Orient, les combats en Afghanistan et la guerre en Irak. Son ouvrage Moscou Babylone, a paru aux éditions Les Escales en août 2013.
Moscou Babylone : Pétri de ses bonnes manières britanniques, Roman Lambert arrive à Moscou en 1995  Le jeune étranger se fond dans ce monde impitoyable dépravé et violent. Commence alors une métamorphose que précipite sa rencontre avec Sonia, aussi belle et tragique qu'une peinture du Caravage. Une descente aux enfers qui va l'emmener par-delà le bien et le mal, jusqu'à commettre l'irréparable... 

Valérie Tong Cuong
Née en banlieue parisienne, elle a connu une jeunesse douloureuse. L'écriture a été pour elle une sorte d'échappatoire. Après des études de littérature et de sciences politiques, elle travaille pendant huit ans dans la communication. Providence, Ferdinand et les iconoclastes ou L'ardoise magique sont quelques-uns de ses titres aujourd'hui traduits en une quinzaine de langues. L'atelier des miracles a paru en juin 2013, aux Editions Jean-Claude Lattès.
L'atelier des miracles : Professeur d'histoire-géo, Mariette est au bout du rouleau. Rongée par son passé, la jeune Millie est prête à tout pour l'effacer. Quant  à Monsieur Mike, ex-militaire installé sous un porche, le voilà mit à terre par la violence de la rue. Un homme providentiel surgit et leur tend la main - Jean, qui accueille dans son atelier les âmes cassées... et dont on dit qu'il fait des miracles...

Tim Willocks
Né en 1957 à Manchester, il est chirurgien, psychiatre, mais aussi producteur et scénariste. Il est par ailleurs maître en arts martiaux. Il publie son premier roman Bad City Blues, qui sera adapté sur grand écran par Dennis Hopper. La Religion a paru chez Sonatine Editions en 2009.
La Religion : Roman historique, western, thriller, l'action se déroule à Malte, en 1565, quand Soliman le Magnifique déclare la guerre aux chevaliers de l'ordre de Malte. Assiégés, les chrétiens minoritaires se défendent jusqu'à la mort contre les Ottomans...

Véronique Ovaldé
Elle est née en 1972. Ses ouvrages connaissent un succès grandissant et depuis le début de sa carrière littéraire elle bénéficie d’une reconnaissance des libraires et de la critique. En 2009, son septième roman Ce que je sais de Vera Candida, reçoit le 18ème Prix Renaudot des lycéens, le Prix France Télévisions (2009)  et le Grand prix des lectrices de Elle, en 2010. Ses romans sont déjà traduits en une quinzaine de langues.
Ce que je sais de Véra Candida : Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d'une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Ces trois femmes, Rose, Violette et Véra Candida, sont à la fois téméraires, et prisonnières de leur condition féminine... Seule Véra Candida ose penser qu'un destin se brise...

Cédric  Gras
Après des études de géographie menées de par le monde et des voyages au long cours, Cédric Gras a passé cinq années à sillonner la Sibérie et l’Extrême-Orient russe dont il a tiré Vladivostok et Le Nord, c’est l’Est, tous deux publiés aux Éditions Phébus. Il est actuellement directeur de l’Alliance française de Donetsk en Ukraine. Le Cœur et les Confins est sa première incursion dans la fiction.
Le coeur et les confins : Des Himalayas à Montevideo, de l’océan glacial Arctique aux steppes de Mongolie, le voyageur ne sera jamais à l’abri de l’amour, que ce soit celui d’un homme pour une femme ou celui d’une famille pour son fils prodigue. Il est l’un des plus grands périls que réserve la route...

Charlie Galibert
Né en 1955, docteur en philosophie et en anthropologie, Charlie Galibert est chargé de cours en ethnologie à l’université de Nice Sophia Antipolis. Son premier roman, Carnaval cathare, a paru en 2003 aux Éditions Empreinte. Il est également l’auteur de L’Autre aux Éditions Anacharsis et Sistac aux Éditions Libretto son dernier livre.
Sistac : Dans les immenses solitudes de l'ouest américain, dans les déserts immobiles, dans les plaines et jusque dans le creux des ravines asséchées par le soleil, deux hommes se poursuivent mutuellement en une implacable chasse à l'homme. L'un est un fils d'armurier étrangement né de l'autre côté de l'Atlantique dans le quartier des Minimes à Toulouse. L'autre est un tueur répondant au surnom de Goodfellow, sorte d'alter ego fantomatique de sa proie...

Manon Moreau
Elle a 31 ans, est journaliste, et vit à Paris. Le vestibule des causes perdues est son premier roman.
Le vestibule des causes perdues : C'est l'histoire de Mara, de Robert, de Sept Lieues, d'Henrique, de Bruce, de Clotilde, de cet homme qu'on appelle Le Breton, de Flora et d'Árpád. Un retraité, un joueur de guitare, un cow-boy, un exégète de Claude Simon, une brunette maigrichonne, un taiseux, une grande bourgeoise fatiguée, un gars que la vie un jour a pris pour un punching-ball. L'histoire de gens qui n'avaient aucune chance de se croiser, mais qui tous, un jour, enfilent de grosses chaussures, un sac à dos et mettent le cap vers les confins de l'Espagne...

Avec l'aimable autorisation de Sonatine Editions